MANHATTAN

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L'actualité de la ville de New-York en 2011

lundi 30 mai 2011

SPECTACLES A NEW YORK

Catégorie(s) | Concerts, Musique, Vidéos

Rihanna et Lady Gaga en concert dans les rues de New-York : vidéos!

La pochette du single 'Born This Way' de Lady Gaga ©All Rights Reserved
Vendredi, Rihanna et Lady Gaga ont fait le buzz aux Etats-Unis et plus particulièrement à New-York. Le printemps bat son plein, le soleil est au rendez-vous alors Rihanna et Lady Gaga ont pu envahir les rues de New-York pour le plus grand plaisir des fans qui étaient au rendez-vous. En effet, les show télé US ont lancé leur saison estivale avec des concerts en plein air. Il s’agit surtout de prestations d’artistes internationaux avec une interview également diffusée dans l’émission qui se déroule en plein air. Et vendredi, 2 des plus grosses stars mondiales de la chanson étaient au rendez-vous. Lady Gaga a effectué une prestation à Central Park, rien que ça ! Son album Born This Way est dans les bacs depuis le 23 mai ce qui ne l’empêche pas d’en continuer la promo, notamment aux Etats-Unis. L’autre star mondiale du moment, Rihanna, était sur la place du Rockefeller Center en plein centre de New-York.

AFFAIRE DSK

26/05/2011

mardi 17 mai 2011

AFFAIRE DSK

On la surnomme «The Rock» - Le Rocher, à l'instar de l'ancienne prison légendaire située de l'autre côté du pays, sur l'île d'Alcatraz. Connue pour son extrême violence, la prison de Rikers Island, où Dominique Strauss-Khan a passé sa première nuit en détention, est un des plus grands complexes carcéraux du monde : elle accueille 14 000 prisonniers, sur une île de 170 hectares, en plein coeur de New York.



La prison, qui n'accueille que les lourdes peines, a été construite dans les années 30 sur une île de l'East River, au nord du quartier du Queens, au large de l'aéroport La Guardia. Elle abrite 10 des 15 centres de détention à New York. Selon plusieurs sites dédiés aux prisons américaines, elle accueille dans des bâtiments de tailles variables entre 13 000 et 14 000 détenus, mais peut peut détenir jusqu'à 17 000 personnes, selon l'administration pénitentiaire. DSK y a été admis dans une cellule individuelle et sans contact avec les autres détenus.

«C'est la loi de la jungle là-bas»
Ce qui impressionne le plus n'est pas la taille mais la réputation ultra-violente de la prison qui a d'ailleurs inspiré plusieurs morceaux de rap, et pour cause, , Prodigy ou encore Tupac y ont séjourné. Même si le taux de criminalité depuis les années 90 a chuté drastiquement, selon un cabinet d'avocats new-yorkais, «cela reste néanmoins une prison et certains détenus peuvent se montrer violents et les gardiens pas toujours capables de contrôler la situation».

En 2004, Frank Moulet, un Français, y a été incarcéré 20 jours pour fausse alerte à la bombe. Il avait alors témoigné au journal «Le Monde» : «En espagnol, ils l'appelaient "La Rocca", le roc. Ils disaient que c'était la loi de la jungle, là-bas. L'endroit où il ne fallait pas aller. Quand on m'a annoncé que j'étais transféré là, quand le fourgon a passé le pont, j'ai repensé à tout ce qu'ils disaient. Je me suis dit : c'est mon dernier jour.».

Traitement de faveur pour DSK
Décrivant les gangs, les luttes de pouvoirs et les passages à tabac, le jeune Français a toutefois connu des conditions que DSK ne vivra pas. Incarcéré à l'écart, dans une antenne réservée aux détenus isolés en raisons de maladies transmissibles, il est ainsi protégé de toute attaque «en raison de sa célébrité», selon une source interrogée par «Le Monde».

lundi 16 mai 2011

ARRESTATION DE DSK A NEW YORK

IMF chief Dominique Strauss-Kahn, charged with sexually assaulting maid in NYC hotel, is denied bail

 
International Monetary Fund leader Dominique Strauss-Kahn, center, is brought into the Municipal Court, Monday.
 
A powerful French politician was tossed behind bars without bail Monday after being hauled before a Manhattan judge on charges of sexually assaulting a hotel chambermaid.
Judge Melissa Jackson ordered International Monetary Fund chief and leading French presidential candidate Dominique Strauss-Kahn to remain in custody until a May 20 hearing.
Prosecutors argued that the allegations against Strauss-Kahn were too shocking for him to go free and that his international ties make him a flight risk.
"The victim provides a very powerful and detailed account," said Assistant District Attorney John McConnell. "He has almost no incentive to stay in this country and almost every resource to leave it."
Strauss-Kahn faces up to 25 years in prison if convicted of attempted rape, criminal sexual act and unlawful imprisonment.
Defense lawyers say their client strenuously denies the charges against him.
"We are obviously disappointed by the court's decision," attorney Benjamin Brafman said. "This battle has just begun. We believe that we'll prove in our judgment that Mr. Strauss-Kahn is innocent of these charges"
Dressed in a black overcoat and buttoned-up shirt, the VIP maker of global economic policy was forced to sit like a common criminal with other defendants.
The room was packed with international reporters - and even a smattering of gawking French tourists. Extra security was brought in the control the overflow crowd.
Strauss-Kahn's lawyers asked for $1 million bond, arguing that he has strong ties to the U.S. with a home in Washington and a daughter who lives in New York.
"The defendant has an interest to clear his name," Brafman said, arguing that Strauss-Kahn should remain in New York. "Life before the arrest will not be the same as after the arrest."
Brafman said Strauss-Kahn's New York-born wife Anne Sinclair, was on her way to the city.
Jackson cut off prosecutors when they tried to raise the case of film director Roman Polanski - who fled the U.S. to France to evade prosecution - but ruled in their favor.
Strauss-Kahn was arrested Saturday after a Sofitel hotel maid said he tried to force himself on her.
The 32-year-old woman said she entered the $1,300-a-night room around noon and that a naked Strauss-Kahn tried to attack her.
"He grabbed the victim's chest without consent, attempted to remove her pantyhose, and forcibly grabbed the victim's vaginal area," prosecutors said in a statement.
"His penis made contact with the victim's mouth twice through the use of force."
Surveillance cameras outside the hotel captured Strauss-Kahn's departure. McConnell said they showed a man who "appears to be a man in a hurry."

lundi 9 mai 2011

CULTURE

Warhol, roi des enchères 



À New York, les maisons de vente se livrent à une surenchère pour acquérir l'œuvre la plus rare du peintre dont la cote bat des records. 

Liz #5, 1963, est estimé entre 20 et 30 M$. (Christie's)
Liz #5, 1963, est estimé entre 20 et 30 M$. (Christie's)


La bataille des Warhol enflamme New York. Jamais, il n'y a eu autant d'œuvres majeures du roi du pop art aux enchères cette semaine. Une petite douzaine. Parce que c'est le jackpot du moment, les maisons de ventes sont entrées en guerre. Toutes ont anticipé la hausse depuis la mort, accidentelle, à 57 ans, en 1987, de la star. Pour cela, elles se livrent à une surenchère sans merci, pour décrocher la perle rare. Qu'ils soient amateur de la Vieille Europe, de l'Amérique ou des pays émergents, tous veulent avoir leur Warhol au mur car son écriture, synonyme du fameux dollar, est la plus identifiable.
«L'artiste est devenu une vraie icône, commente Grégoire Billault, directeur du département art contemporain de Sotheby's France. Il parle à tous. Au-delà d'être une figure clef de son époque, il incarne l'Amérique, avec son mode de vie, sa culture dominante, ses excès.» «Si Warhol a influencé nombre d'artistes comme Christopher Wool ou Richard Prince, il dépasse le domaine de l'art, ajoute Brett Gorvy, son homologue chez Christie's à New York, c'est un vrai personnage qui a son propre langage et une manière bien à lui de voir le monde.»
Première à ouvrir le feu, mardi: Sotheby's avec la série légendaire des Sixteen Jackies (20 à 30 M$) mais aussi deux Jackie en tondo, sérigraphie sur toile à fond or de 1964 (3 à 4 M$). L'image est mythique. Elle a été montrée partout: du Musée d'art moderne de Chicago au Centre Pompidou pour la rétrospective de 1989-1990. La provenance irréprochable, le vendeur ayant acquis l'œuvre chez Samuel Adams Green de New York qui a organisé l'exposition Warhol à l'Institute of Contemporary Art de Philadelphie. Mais cette divine Jackie n'est qu'une mise en bouche avant les deux autoportraits du lendemain chez Christie's. Le premier de 1964 (20 à 30 M$) annonce les prémices de la superstarisation de Warhol. L'image, traitée à la manière d'un Photomaton, annonce un nouvel archétype du glamour. Le deuxième, orange sur fond noir, de 1986 est le dernier grand portrait de l'artiste.
Cet autoportrait spectaculaire et rarissime par sa taille a ses pendants dans les plus grands musées. Il impose Warhol au panthéon des célébrités avec Marilyn, Elvis ou Elisabeth Taylor dont Phillip's de Pury va vendre, jeudi, un portrait turquoise de 1963 (20 à 30 M$). C'est le milliardaire, Steve Cohen, 35e fortune des États-Unis connu pour détenir le Flag de Jasper Johns qui l'a confié à Simon de Pury, moyennant une garantie.
Pourquoi, en vingt ans, Warhol est-il devenu un monstre sacré des enchères? C'est l'Amérique florissante, celles des années du boom économique et financier qui a fait exploser sa cote avec un record à 71,7 M$, en mai 2007, chez Christie's, pour Green Car Crash-Green Burning Car 1 (1963) vendu, semble-t-il, à Philip Niarchos.

Un formidable placement 

«L'Europe a été la première à acheter Warhol, que la galeriste Ileana Sonnabend a montré à Paris dès 1960, tandis que son mari, le marchand Leo Castelli, l'exposa plus tard à New York, note le courtier français de New York, Philippe Segalot. L'Amérique n'a acquis que tardivement, pour le MoMa, la série des 32 Campbell Soup. Avec la génération de la bulle Internet et des hedge funds, la cote a fait un bond spectaculaire et les grandes œuvres comme le Mao, acheté 17,3 M$ par le roi de l'immobilier de Hongkong, Joseph Lau, premier Chinois à acheter Warhol, sont alors sorties en vente.»
En novembre 2010, pour la vente inaugurale de Phillip's de Pury, ce dernier avait décroché Men in her Life (une succession d'images d'Elisabeth Taylor de 1962) venant de la célèbre collection de la famille Mugrabi. Elle fut enlevée au téléphone à 63,5 M$. Warhol est un formidable placement. De 4 M$ en 1989 (Christie's), Marilyn est passée à 17,3 M$, en 1998, (Sotheby's) pour se vendre plus de 28 M$, en 2007 (Christie's). Warhol, un nom en or? La tendance n'est pas près de s'inverser.

Zoom sur les autres pièces phares new-yorkaises
Jeff Koons, «Pink Panther», 1988 (20 à 30 M$, Sotheby's)
Il s'agit de l'épreuve d'artiste mis en vente, dit-on, par l'éditeur Benedikt Taschen; les trois autres éditions étant au MoMa, au Musée d'art contemporain de Chicago et dans la collection privée de Peter Brant. Cette sculpture en porcelaine d'un goût assez kitsch a déjà défrayé la chronique. Pour l'une de ses ventes en 1999, Philippe Ségalot qui était alors à la tête du département art contemporain de Christi'es et conseiller de François Pinault, avait organisé une party déguisée en rose mémorable dans les locaux de Rockfeller Plaza, autour de la panthère. Celle-ci fut ensuite adjugée 1,8 million de dollars, un record à l'époque...
Urs Fischer, «Untitled» (Lamp/ Bear), 2005-2006 (10 M$, Christie's
Avec son poil jaune et son drôle de chapeau noir en guise de lampe, cette pièce monumentale de plus de 7 mètres de haut conçue par le jeune artiste suisse a trôné pendant cinq mois devant le the Seagram Building de Mies van der Rohe à New York et a illuminé tout Park Avenue.
Rothko, «Untitled N° 17», 1961 (18 à 22M$, Christie's)
Avec une toile divisée en rouge et rose sur fond orange, l'artiste qui reste une valeur sûre, fait presque figure d'ancien dans la vente du soir de Christie's où dominent Richard Prince, Chris Ofili, Cindy Sherman, Marlene Dumas, Ed Ruscha ou Basquiat.

vendredi 6 mai 2011

CELEBRATION

OBAMA A GROUND ZERO

New-York - Obama viste Ground Zero
Barack Obama a d’abord déposé une couronne de fleurs sur le site à l’abri des regards. 
© REUTERS/Kevin Lamarque

NEW YORK - La foule new-yorkaise a respecté le mot d’ordre du jour: sobriété. Des milliers de personnes ont accueilli Barack Obama pour sa première visite présidentielle à Ground Zero dans un quasi-silence. On était loin de l’explosion de joie de dimanche soir après l’annonce de la mort d’Osama Ben Laden. Cette journée sous haute présence policière s’est déroulée sans failles.

On s’attendait à des célébrations dans les rues de New York. Après tout, Obama arrive en ville en héros. Son baromètre de sympathie a grimpé de 10 points en une semaine chez les New-Yorkais. Ce fut plutôt le contraire. C’est une foule fébrile, contenue et respectueuse qui a attendu Obama vers midi au nord du chantier du World Trade Center. Ils ont suivi le ton dicté par Obama ces derniers jours.
Il y a bien eu quelques injures lancées à l’encontre de Ben Laden, et quelques extrémistes religieux ont paradé avec des affiches, mais somme toute, les gens ont respecté ce moment de réflexion.
Lorsque le cortège présidentiel a quitté le site vers 2 :30 PM, la foule a chaudement applaudi, en scandant «USA, USA».
«On est privilégiés et honorés d’être là, c’est un grand jour pour les Américains», ont dit Éric Marchand et Anne Talbot de St-Félicien au Québec. Le couple avait organisé leur journée spécialement pour être là.
Pour certains New-Yorkais comme Germano Riviera, la visite d’Obama est une occasion de tourner la page. Ce retraité a survécu à l’écrasement de la Tour Sud. Depuis l’annonce de la mort de Ben Laden, il n’a pas quitté Ground Zero. «C’est une journée symbolique. Bien sûr, je pense à la sécurité, car on s’est débarrassé du vilain, mais il y a toujours des gens derrière lui. Mais nous sommes Américains, nous sommes prêts», a-t-il confié, paradant avec son énorme drapeau américain.
Les milliers de personnes qui s’étaient massées dans l’espoir d’apercevoir leur président sont repartis déçus. Obama s’est fait discret. Il a d’abord déposé une couronne de fleurs sur le site à l’abri des regards avant de rencontrer en privé quelque 50 familles de victimes. Il n’a pas donné de discours.
Plus tôt dans la journée, il a rencontré les pompiers d’une caserne de Midtown qui a perdu 15 des leurs dans les attaques. «Quand on dit qu’on n’oubliera jamais, on le pense», a-t-il dit aux pompiers.
Pour les Américains, ce moment est aussi symbolique que le discours donné par George W. Bush après les attentats sur une pile de décombres avec un porte-voix.
John Parisella, délégué du Québec à New York s’est rendu près de Ground Zero par respect pour sa nouvelle ville d’adoption. Il est convaincu que la mort de Ben Laden sera la plus grande contribution de la présidence d’Obama.
«C’est une atmosphère de reconnaissance qui règne chez les New-Yorkais. Obama a choisi le bon moment, le bon registre. New York est une ville encore en train de guérir. Graduellement cette page va tourner», a-t-il dit.
Plusieurs New Yorkais ont évité la zone de Ground Zero, jeudi, craignant de nouveaux attentats. La sécurité était des plus intenses avec des policiers jusque dans les wagons de métro. Le long de la route empruntée par le président, poubelles et boîtes à lettres ont été enlevées. Lundi, 62 cas de colis suspects ont été répertoriés comparativement à 18 lundi dernier. Aucun doute, la population est alerte.

EXPOSITION

EXPOSITION A AIX:
"ARGENT ET FRONTIERES" -
DESSINS DE LA PRESSE


mercredi 4 mai 2011

STREET

Nissan nouveau fournisseur des taxis new-yorkais! 
 
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Voici le futur taxi new-yorkais. Nissan a en effet remporté hier le projet « Taxi of Tomorrow ».

Ce véhicule Nissan est un NV200, équipé d’un moteur quatre cylindres essence. Cette version spécifique du NV200 destinée aux taxis new-yorkais sera produite dans une usine Nissan au Mexique.

Nissan a décroché un contrat qui court de 2013 à 2023, contrat qui prévoit également l’introduction de quelques Leaf dans la flotte. Dès l’an prochain, six Leaf seront d’ailleurs en test dans les rues de la cité américaine.

Chaque année, ce sont plus de 600 000 passagers qui sont transportés par les taxis new-yorkais. Le projet « Taxi of Tomorrow » avait été lancé en 2009 par la « Taxi and Limousine Commission ». Nissan faisait partie des trois finalistes, avec Ford et Karsan, une entreprise turque.

FOOTBALL

Cantona : "Le New York Cosmos me ressemble"

Mercredi 4 mai 2011 - 14:21 Eric Cantona a expliqué à France Soir les raisons qui l’ont poussé à aller chercher un challenge aux Etats-Unis, avec le New York Cosmos.



Le choix d’Eric Cantona de rejoindre le club des New York Cosmos méritait bien une petite explication. Dans les colonnes de France Soir, Cantona est revenu sur les raisons qui l’ont amené à relever ce challenge aux Etats-Unis : "Le Cosmos a un grand passé, une histoire forte ; il a été créé par les gens de la Warner. C’est un mélange de football et d’art, un club rock’n roll. New York et moi, c’est une parfaite rencontre. Ce pays, au niveau ballon, est en pleine évolution. Il y a tout à faire, à construire. Ce club me ressemble. Là-bas, je serai à 100 %, 24 heures sur 24. Les gamins, dès 8 ans il faut leur inculquer une façon de voir le foot. Le projet est de gagner des titres, mais aussi de former, de créer des automatismes. Le modèle, c’est Barcelone, Cruyff. Ce n’est pas un travail, mais une passion. Je me régale d’avance." Après Pelé et Franz Beckenbauer en leur époque, un autre grand nom rejoint le Cosmos.

lundi 2 mai 2011

ACTUALITE


Mort de Ben Laden: à New York, la foule exulte

La nouvelle de la mort de l'homme le plus recherché au monde a provoqué une vague de joie aux Etats-Unis. Une foule en liesse a aussitôt investi Ground Zero et Times Square, à New York. Dans le monde, les réactions se multipliées tout au long de la journée.

SPECTACLE

Black Eyed Peas donne un show gratuit à New York

NEW YORK, États-Unis - Black Eyed Peas donnera un concert gratuit dans Central Park.
Le groupe lauréat de six Grammy se produira à New York le 9 juin.

Black Eyed Peas.  Matt Sayles / The Associated Press


Les profits du spectacle — intitulé «Concert 4 NYC» — seront remis à la Robin Hood Foundation, une oeuvre de bienfaisance luttant contre la pauvreté à New York.
Même si le show est gratuit, les spectateurs devront avoir un billet en main. Plus de 50 000 billets sont distribués en ligne. Des billets VIP seront aussi vendus en ligne.
La collaboration entre la fondation et le populaire groupe inclut le financement de trois écoles d'arts. Ces centres pour adolescents ont été initiés par les Black Eyed Peas.