Un film avec pour toile de fond: New-York
L'agence: M.Damon, Emily Blunt
MANHATTAN

L'actualité de la ville de New-York en 2011
samedi 30 avril 2011
vendredi 29 avril 2011
EXPOSITION
Une exposition David Bowie à New York
Cette exposition aura lieu au Musée de Arts + Design pendant deux mois.
Une exposition David Bowie à New York
Elle sera lancée le 9 mai (11), et relatera les films de David Bowie, tels que Ziggy Stardust + The Spiders From Mars.
mercredi 27 avril 2011
PEOPLE
Jennifer Aniston a trouvé le duplex de ses rêves à New York
Si on en croit le New York Daily News, l'ancienne actrice de la série Friends va acheter deux appartements de deux chambres à West Village, un quartier branché de New York.Elle a l'intention de réunir ces deux appartements en un grand duplex.
Une source souligne "Elle aura vraiment besoin de plus d'espace que ce que lui offre un seul de ces appartements. Sa garde-robe seule ne rentre pas dans une chambre."L'actrice, qui a mis en vente sa propriété de Beverly Hills pour 42 millions de dollars (environ 30,7 millions d'euros), a récemment confié vouloir quitter Los Angeles pour s'installer à New York, où elle a fêté ses 42 ans en février (11).
Elle avait alors avoué "J'ai grandi ici (New York City). Cette ville me manque. Il n'y a rien de mieux que cette ville."
SPECTACLE / TV
Les acteurs de «Glee» sont à New York
NEW YORK, États-Unis - Les acteurs de «Glee» sont à New York cette semaine pour enregistrer les deux derniers épisodes de la saison, et le maire Michael Bloomberg a accueilli lundi les vedettes de l'émission de Fox lors d'une conférence de presse devant le Gershwin Theater, l'un des lieux de tournage.
Le maire a dit ne pas avoir beaucoup de temps pour regarder la télévision. Il a toutefois ajouté à la blague avoir hâte de savoir ce qu'il adviendra de Finn et Rachel, faisant référence aux deux personnages dont la relation romantique va et vient au fil des épisodes de «Glee».
Dans le dernier épisode de la saison, les étudiants se rendent à New York pour une compétition nationale. Le tournage doit se dérouler toute la semaine dans la Grosse Pomme, dans des lieux caractéristiques tels que Central Park et le Lincoln Center.
L'un des producteurs de «Glee», Dante Di Loreto, a souligné qu'en deux ans de tournage à Los Angeles, l'équipe n'avait jamais eu l'occasion d'y rencontrer le maire.
Des dizaines d'admirateurs ont fait la queue à l'extérieur du théâtre pour apercevoir les acteurs. Cory Monteith et Mark Salling figuraient parmi ceux qui ont pris part à la conférence de presse.
La saison de «Glee» prend fin le 24 mai.
lundi 25 avril 2011
PAQUES
NEW YORK, États-Unis - Chapeaux extravagants et manifestation pour les droits des homosexuels ont volé la vedette dimanche lors du
traditionnel défilé de Pâques de New York.
Après le coup d'envoi, dimanche matin, des milliers de participants costumés ont marché sur la 5e avenue pendant une dizaine de rues, croisant au passage la cathédrale St. Patrick, le siège du diocèse de New York.
À midi, le lieu de culte était bondé en prévision de la messe de Pâques célébrée par l'archevêque Timothy Dolan. La plupart des ouailles portaient toujours leurs couvre-chefs colorés.
Mais sur le parvis de l'église, des militants en faveur du mariage homosexuel n'avaient pas le coeur à la fête, protestant contre l'opposition de Rome à l'union entre personnes du même sexe et honorant la mémoire de ceux qui ont perdu la vie à cause de leur orientation sexuelle.
Mgr Dolan a exprimé à plusieurs reprises sa désapprobation face au mariage gai, soutenant que les gens de même sexe n'avaient pas plus le droit de se marier que d'épouser leur mère.
La tradition du défilé de Pâques à New York remonte au XIXe siècle. À l'époque, il donnait l'occasion à l'élite new-yorkaise de montrer ses plus beaux atours après l'office pascal. Des événements similaires ont également fait leur apparition dans d'autres villes des États-Unis après la guerre civile. Avec les années, le défilé de la Grosse Pomme est devenu une fête presque laïque.
traditionnel défilé de Pâques de New York.
Après le coup d'envoi, dimanche matin, des milliers de participants costumés ont marché sur la 5e avenue pendant une dizaine de rues, croisant au passage la cathédrale St. Patrick, le siège du diocèse de New York.
À midi, le lieu de culte était bondé en prévision de la messe de Pâques célébrée par l'archevêque Timothy Dolan. La plupart des ouailles portaient toujours leurs couvre-chefs colorés.
Mais sur le parvis de l'église, des militants en faveur du mariage homosexuel n'avaient pas le coeur à la fête, protestant contre l'opposition de Rome à l'union entre personnes du même sexe et honorant la mémoire de ceux qui ont perdu la vie à cause de leur orientation sexuelle.
Mgr Dolan a exprimé à plusieurs reprises sa désapprobation face au mariage gai, soutenant que les gens de même sexe n'avaient pas plus le droit de se marier que d'épouser leur mère.
La tradition du défilé de Pâques à New York remonte au XIXe siècle. À l'époque, il donnait l'occasion à l'élite new-yorkaise de montrer ses plus beaux atours après l'office pascal. Des événements similaires ont également fait leur apparition dans d'autres villes des États-Unis après la guerre civile. Avec les années, le défilé de la Grosse Pomme est devenu une fête presque laïque.
NEW YORK, États-Unis - Chapeaux extravagants et manifestation pour les droits des homosexuels ont volé la vedette dimanche lors du traditionnel défilé de Pâques de New York.
Après le coup d'envoi, dimanche matin, des milliers de participants costumés ont marché sur la 5e avenue pendant une dizaine de rues, croisant au passage la cathédrale St. Patrick, le siège du diocèse de New York.
À midi, le lieu de culte était bondé en prévision de la messe de Pâques célébrée par l'archevêque Timothy Dolan. La plupart des ouailles portaient toujours leurs couvre-chefs colorés.
Mais sur le parvis de l'église, des militants en faveur du mariage homosexuel n'avaient pas le coeur à la fête, protestant contre l'opposition de Rome à l'union entre personnes du même sexe et honorant la mémoire de ceux qui ont perdu la vie à cause de leur orientation sexuelle.
Mgr Dolan a exprimé à plusieurs reprises sa désapprobation face au mariage gai, soutenant que les gens de même sexe n'avaient pas plus le droit de se marier que d'épouser leur mère.
La tradition du défilé de Pâques à New York remonte au XIXe siècle. À l'époque, il donnait l'occasion à l'élite new-yorkaise de montrer ses plus beaux atours après l'office pascal. Des événements similaires ont également fait leur apparition dans d'autres villes des États-Unis après la guerre civile. Avec les années, le défilé de la Grosse Pomme est devenu une fête presque laïque.

Après le coup d'envoi, dimanche matin, des milliers de participants costumés ont marché sur la 5e avenue pendant une dizaine de rues, croisant au passage la cathédrale St. Patrick, le siège du diocèse de New York.
À midi, le lieu de culte était bondé en prévision de la messe de Pâques célébrée par l'archevêque Timothy Dolan. La plupart des ouailles portaient toujours leurs couvre-chefs colorés.
Mais sur le parvis de l'église, des militants en faveur du mariage homosexuel n'avaient pas le coeur à la fête, protestant contre l'opposition de Rome à l'union entre personnes du même sexe et honorant la mémoire de ceux qui ont perdu la vie à cause de leur orientation sexuelle.
Mgr Dolan a exprimé à plusieurs reprises sa désapprobation face au mariage gai, soutenant que les gens de même sexe n'avaient pas plus le droit de se marier que d'épouser leur mère.
La tradition du défilé de Pâques à New York remonte au XIXe siècle. À l'époque, il donnait l'occasion à l'élite new-yorkaise de montrer ses plus beaux atours après l'office pascal. Des événements similaires ont également fait leur apparition dans d'autres villes des États-Unis après la guerre civile. Avec les années, le défilé de la Grosse Pomme est devenu une fête presque laïque.
vendredi 22 avril 2011
SPECTACLE
New York - Doublé d'Henry contre DC United
(AFP) Vendredi 22 avril 2011
Thierry Henry a marqué trois buts en l'espace de cinq jours dans la Ligue nord-américaine de football (MLS) en inscrivant un doublé lors de la large victoire (4-0) de son équipe des New York Red Bulls sur DC United, jeudi à Washington.
Cinq jours après son premier but de la saison, samedi contre San Jose, l'attaquant français a marqué les deux premiers buts new yorkais, sur une tête après un centre de la droite du Norvégien Jan Gunnar Solli (12e) et sur un plat du pied droit aux six mètres après un centre en retrait du même Solli (38e).
Le capitaine de New York, décroché au niveau de la ligne du milieu de terrain, a aussi fait la passe lobée qui a ouvert le chemin du but à l'Estonien Joel Lindpere pour aller marquer le 3e but des Red Bulls (76e). Il a été remplacé cinq minutes plus tard par le Gallois Carl Robinson.
Le prometteur international américain Juan Agudelo, 18 ans seulement, s'est ensuite trouvé à la réception d'un centre de la droite de l'incontournable Solli pour clôturer la marque de façon acrobatique pour New York (90+2), qui a provisoirement pris la tête de la Conférence Est avec 3 v, 2 d et 1 nul.
Samedi contre San Jose (3-0), Henry avait inscrit son premier but en MLS depuis le 11 septembre et avait aussi adressé la passe décisive qui avait permis à l'Anglais Luke Rodgers de marquer le deuxième but de New York. "C'est sa meilleure performance jusque-là pour les Red Bulls, avait alors dit l'entraîneur de NY Hans Backe. S'il reste à ce niveau, cela veut dire que nous tenons un joueur qui peut faire une différence dans ce Championnat."
L'ancien attaquant d'Arsenal, désormais barbu, a disputé cinq matches cette saison en MLS, où il est arrivé en cours de saison dernière.
Le prochain match des Red Bulls aura lieu le 30 avril à New York contre le Sporting Kansas City.
mercredi 20 avril 2011
SPECTACLE
Le printemps de Robert De Niro
Par BRUNO ICHER
Cinéma. Avant le jury de Cannes, l’acteur sera mercredi à l’ouverture du festival de Tribeca.
Robert De Niro, le 14 mars 2011 à New York. - Reuters
- Autant s’y préparer, Robert De Niro sera sur tous les écrans au cours des semaines à venir. Naturellement, son actualité de président du jury du Festival de Cannes devrait le conduire devant des tas de caméras entre le 11 et le 22 mai, tandis que deux reprises au cinéma viennent rappeler les grandes heures du comédien.
En premier lieu, ce sera, en avant-première, la reprise d’Il était une fois en Amérique de Sergio Leone les 13, 14 et 15 mai sur l’ensemble du territoire. Le film se retirera ensuite de l’affiche pour être reprogrammé à partir du 22 juin. Dans la foulée, et toujours pendant Cannes, ce sera au tour de la Valse des pantins de Martin Scorsese de faire son retour dans les salles à partir du 18 mai. Le film, tourné en 1982, évoque la bouffée délirante d’un certain Rupert Pupkin (De Niro dans un de ses rôles les plus bizarres) qui finit par prendre en otage son idole, incarnée par Jerry Lewis.
Folie. Echec critique et public, cette Valse des pantins, réalisée d’après une idée de Robert De Niro, s’attaquait à la question de la surmédiatisation et de la folie qui sommeille en tout fan qui se respecte. Le scénario puisait dans l’affaire John Hinckley, Américain qui, en 1981, avait tenté d’assassiner le président Reagan. L’homme avait expliqué que son geste était censé attirer l’attention de Jodie Foster dont il était tombé amoureux en regardant Taxi Driver, film de Martin Scorsese avec Robert De Niro. Les deux films sont distribués par Carlotta qui, en début de mois, a lancé son opération De Niro avec l’édition Blu-ray de Mean Streets, première collaboration entre Scorsese et l’acteur.
Pour le moment, la grosse actualité de Robert De Niro est l’ouverture, cette semaine de «son» festival de Tribeca. Tribeca (Triangle Below Canal Street) est un quartier de New York, dans le sud de Manhattan, la zone la plus touchée par les attentats du 11 Septembre. C’est pour relancer l’économie locale que l’acteur, épaulé par mécènes, financiers et amis de l’industrie cinématographique, a créé ce festival de cinéma. Chaque année, au printemps, une sélection d’une cinquantaine de films, longs métrages, courts, documentaires, sont ainsi présentés dans une douzaine de salles du quartier.
Le festival ouvrira ses portes mercredi avec la projection en plein air de The Union, un documentaire de Cameron Crowe (réalisateur de Almost Famous, Vanilla Sky…) consacré aux coulisses de la fabrication d’un album de deux monstres sacrés de la musique, le glitter crooner Elton John et Leon Russell, figure tutélaire du country rock.
Jeu vidéo. Parmi la volumineuse sélection de cette année, une pincée de reprises (Fame d’Alan Parker), beaucoup de courts métrages et quelques gros morceaux, comme Detective Dee de Tsui Hark qui sort ce mercredi en France. Au chapitre des films les plus attendus, Detachment de Tony Kaye (réalisateur de American History X) avec Adrian Brody, retraçant un fait divers dans le contexte de la faillite du système éducatif américain, ou encore Love Always, Carolyn, documentaire de Maria Ramström et Malin Korkeasalo, consacré à Carolyn Cassady, veuve de Neal Cassady et muse de Jack Kerouac.
Il faut encore souligner la présentation dans le cadre du festival de L.A. Noire, un jeu vidéo du studio RockStar (auteur de la série des Grand Theft Auto) qui se présente comme un tournant dans les relations entre les industries du cinéma et du jeu. Enfin, une solide délégation française est attendue à Tribeca avec, entre autres, Julien Leclercq (l’Assaut), Cédric Klapish (Ma part du gâteau) ou encore le jeune David Dusa, pensionnaire de la Fémis, qui a signé l’inédit Fleurs du mal.
Folie. Echec critique et public, cette Valse des pantins, réalisée d’après une idée de Robert De Niro, s’attaquait à la question de la surmédiatisation et de la folie qui sommeille en tout fan qui se respecte. Le scénario puisait dans l’affaire John Hinckley, Américain qui, en 1981, avait tenté d’assassiner le président Reagan. L’homme avait expliqué que son geste était censé attirer l’attention de Jodie Foster dont il était tombé amoureux en regardant Taxi Driver, film de Martin Scorsese avec Robert De Niro. Les deux films sont distribués par Carlotta qui, en début de mois, a lancé son opération De Niro avec l’édition Blu-ray de Mean Streets, première collaboration entre Scorsese et l’acteur.
Pour le moment, la grosse actualité de Robert De Niro est l’ouverture, cette semaine de «son» festival de Tribeca. Tribeca (Triangle Below Canal Street) est un quartier de New York, dans le sud de Manhattan, la zone la plus touchée par les attentats du 11 Septembre. C’est pour relancer l’économie locale que l’acteur, épaulé par mécènes, financiers et amis de l’industrie cinématographique, a créé ce festival de cinéma. Chaque année, au printemps, une sélection d’une cinquantaine de films, longs métrages, courts, documentaires, sont ainsi présentés dans une douzaine de salles du quartier.
Le festival ouvrira ses portes mercredi avec la projection en plein air de The Union, un documentaire de Cameron Crowe (réalisateur de Almost Famous, Vanilla Sky…) consacré aux coulisses de la fabrication d’un album de deux monstres sacrés de la musique, le glitter crooner Elton John et Leon Russell, figure tutélaire du country rock.
Jeu vidéo. Parmi la volumineuse sélection de cette année, une pincée de reprises (Fame d’Alan Parker), beaucoup de courts métrages et quelques gros morceaux, comme Detective Dee de Tsui Hark qui sort ce mercredi en France. Au chapitre des films les plus attendus, Detachment de Tony Kaye (réalisateur de American History X) avec Adrian Brody, retraçant un fait divers dans le contexte de la faillite du système éducatif américain, ou encore Love Always, Carolyn, documentaire de Maria Ramström et Malin Korkeasalo, consacré à Carolyn Cassady, veuve de Neal Cassady et muse de Jack Kerouac.
Il faut encore souligner la présentation dans le cadre du festival de L.A. Noire, un jeu vidéo du studio RockStar (auteur de la série des Grand Theft Auto) qui se présente comme un tournant dans les relations entre les industries du cinéma et du jeu. Enfin, une solide délégation française est attendue à Tribeca avec, entre autres, Julien Leclercq (l’Assaut), Cédric Klapish (Ma part du gâteau) ou encore le jeune David Dusa, pensionnaire de la Fémis, qui a signé l’inédit Fleurs du mal.
mardi 19 avril 2011
SPECTACLE
Halle Berry abandonne son rôle dans une pièce de théâtre
L’actrice Halle Berry a été forcée de se retirer de la pièce de théâtre de Broadway « The Mountaintop », dans laquelle elle devait donner la réplique à Samuel L. Jackson, pour des raisons liées à la bataille juridique qu’elle mène avec son ex, le mannequin québécois Gabriel Aubry, relativement à la garde de leur jeune fille.
« Mme Berry ne défendra pas le rôle prévu dû aux problèmes entourant la garde de sa fille », ont annoncé dimanche, dans un communiqué, les producteurs de « The Mountaintop », sans toutefois fournir plus de détails.
L’histoire de « The Mountaintop » est inspirée des évènements qui se sont déroulés la veille de l’assassinat du pasteur baptiste Martin Luther King, joué pour l’occasion par Samuel L. Jackson. Pour ses débuts sur les planches, Halle Berry devait se glisser dans la peau d’une femme de chambre du Lorraine Motel, à Memphis, où King a été tué le 4 avril 1968.
Halle Berry et Gabriel Aubry ont annoncé leur séparation en avril 2010. Leur petite fille, Nahla Ariela Aubry, était alors âgée de deux ans et demi. Leur séparation semblait se dérouler sans anicroche jusqu’à ce que le mannequin québécois dépose une requête devant la cour, en décembre dernier, afin d’être reconnu officiellement comme le père biologique de Nahla.
Il avait demandé du même coup la garde partagée de sa fille unique, malgré une entente informelle qu’il avait déjà conclue avec la vedette de cinéma.
Un mois plus tard, le représentant d’Halle Berry avait annoncé que sa cliente entamerait des procédures judiciaires pour protéger sa fille.
« Halle est profondément préoccupée par le bien-être de sa fille sous la garde de son père pour de longues périodes de temps et est prête à prendre toutes les mesures nécessaires pour la protéger. Elle a tenté de résoudre les problèmes de garde à l’amiable avec le père de sa fille, mais étant donné le manque de coopération de ce dernier, Halle n’a pas d’autres choix que de demander rapidement une intervention judiciaire », avait révélé le représentant de l’actrice au magazine « People », en janvier 2011.
Ce n’est pas la première fois que la bataille juridique entourant la garde de Nahla affecte la carrière hollywoodienne de sa célèbre maman.
En janvier dernier, Halle Berry a dû abandonner le rôle de l'ex-petite amie d’un rockeur joué par Jon Bon Jovi dans la comédie romantique « New Year’s Eve ». Gabriel Aubry refusait alors que son ex trimbale Nahla avec elle lors du tournage qui se déroulait à New York. Le rôle a été finalement attribué à Katherine Heigl.
Le mois suivant, un juge avait permis à l’actrice de se déplacer avec sa fille à l’extérieur de la Californie pour les besoins de son travail. Halle Berry avait alors été réembauchée pour défendre un rôle moins important dans ce film du réalisateur Garry Marshall.
Halle Berry et Gabriel Aubry ne sont toujours pas arrivés à une entente définitive et se disputent toujours la garde de leur fille.
Depuis sa séparation d’avec le mannequin québécois, Halle Berry fréquente l’acteur français Olivier Martinez.
« Mme Berry ne défendra pas le rôle prévu dû aux problèmes entourant la garde de sa fille », ont annoncé dimanche, dans un communiqué, les producteurs de « The Mountaintop », sans toutefois fournir plus de détails.
L’histoire de « The Mountaintop » est inspirée des évènements qui se sont déroulés la veille de l’assassinat du pasteur baptiste Martin Luther King, joué pour l’occasion par Samuel L. Jackson. Pour ses débuts sur les planches, Halle Berry devait se glisser dans la peau d’une femme de chambre du Lorraine Motel, à Memphis, où King a été tué le 4 avril 1968.
Halle Berry et Gabriel Aubry ont annoncé leur séparation en avril 2010. Leur petite fille, Nahla Ariela Aubry, était alors âgée de deux ans et demi. Leur séparation semblait se dérouler sans anicroche jusqu’à ce que le mannequin québécois dépose une requête devant la cour, en décembre dernier, afin d’être reconnu officiellement comme le père biologique de Nahla.
Il avait demandé du même coup la garde partagée de sa fille unique, malgré une entente informelle qu’il avait déjà conclue avec la vedette de cinéma.
Un mois plus tard, le représentant d’Halle Berry avait annoncé que sa cliente entamerait des procédures judiciaires pour protéger sa fille.
« Halle est profondément préoccupée par le bien-être de sa fille sous la garde de son père pour de longues périodes de temps et est prête à prendre toutes les mesures nécessaires pour la protéger. Elle a tenté de résoudre les problèmes de garde à l’amiable avec le père de sa fille, mais étant donné le manque de coopération de ce dernier, Halle n’a pas d’autres choix que de demander rapidement une intervention judiciaire », avait révélé le représentant de l’actrice au magazine « People », en janvier 2011.
Ce n’est pas la première fois que la bataille juridique entourant la garde de Nahla affecte la carrière hollywoodienne de sa célèbre maman.
En janvier dernier, Halle Berry a dû abandonner le rôle de l'ex-petite amie d’un rockeur joué par Jon Bon Jovi dans la comédie romantique « New Year’s Eve ». Gabriel Aubry refusait alors que son ex trimbale Nahla avec elle lors du tournage qui se déroulait à New York. Le rôle a été finalement attribué à Katherine Heigl.
Le mois suivant, un juge avait permis à l’actrice de se déplacer avec sa fille à l’extérieur de la Californie pour les besoins de son travail. Halle Berry avait alors été réembauchée pour défendre un rôle moins important dans ce film du réalisateur Garry Marshall.
Halle Berry et Gabriel Aubry ne sont toujours pas arrivés à une entente définitive et se disputent toujours la garde de leur fille.
Depuis sa séparation d’avec le mannequin québécois, Halle Berry fréquente l’acteur français Olivier Martinez.
dimanche 17 avril 2011
CLIMAT
Le bilan des tornades aux USA s'alourdit à 44 morts
Les tornades ont tout ravagé sur leur passage. [Amanda Sowards - Keystone]Des toits arrachés, des arbres déracinés, des quartiers entiers dévastés: une série de violentes tornades a semé la destruction dans son sillage et fait au moins 44 morts depuis jeudi dans le sud des Etats-Unis.
Les tornades sont la conséquence du passage d'une puissante tempête qui s'est formée jeudi dans le sud des Etats-Unis, au niveau de l'Oklahoma, du Texas et du Kansas, avant de progresser vers l'est, le long d'une région surnommée "le couloir des tornades" en raison de la fréquence de ce type d'intempéries. Parvenue à la côte Atlantique, la tempête baissait en intensité dimanche.
"C'est la pire tempête depuis 1984 (...) Plus de 84’000 personnes sont sans électricité. Cela prendra certainement quelques jours avant qu'on puisse rétablir le courant", a-t-elle ajouté. A travers tout l'Etat, la tempête a déraciné des arbres, couché des poteaux électriques, arraché des toits de maisons ou encore jeté des tracteurs sur les autoroutes.
"C'est comme si une bombe avait explosé dans le jardin", a témoigné sur la chaîne ABC un habitant de Raleigh, une ville de plus de 350’000 habitants.
Vendredi, une vingtaine de tornades avaient frappé les Etats du Mississippi et de l'Alabama (sud) et 15 autres avaient déferlé jeudi sur l'Oklahoma, le Texas (sud) et le Kansas (centre), selon la météorologie nationale américaine.
afp/bkel
Au moins 44 morts
Les tornades ont fait au moins 44 morts dans six États, selon un décompte établi dimanche par l'AFP auprès des autorités américaines, principalement en Caroline du Nord, frappée de plein fouet dans la journée de samedi. Le bilan dans cet État est de 23 morts et 80 personnes hospitalisées, a indiqué à l'AFP Patty McQuillan, porte-parole des services d'urgence de Caroline du Nord, où l'état d'urgence a été déclaré."C'est la pire tempête depuis 1984 (...) Plus de 84’000 personnes sont sans électricité. Cela prendra certainement quelques jours avant qu'on puisse rétablir le courant", a-t-elle ajouté. A travers tout l'Etat, la tempête a déraciné des arbres, couché des poteaux électriques, arraché des toits de maisons ou encore jeté des tracteurs sur les autoroutes.
"C'est comme si une bombe avait explosé dans le jardin", a témoigné sur la chaîne ABC un habitant de Raleigh, une ville de plus de 350’000 habitants.
"Tout est détruit"
Dans la petite ville de Dunn, les tornades ont couché sur la route un énorme camion et dans certains quartiers, des habitants erraient abasourdis au milieu des ruines de leurs habitations. "Il ne reste rien de ma maison. Tout est détruit, cassé. Et mon chien est mort", a déclaré en pleurs une femme sur la chaîne CBS.Vendredi, une vingtaine de tornades avaient frappé les Etats du Mississippi et de l'Alabama (sud) et 15 autres avaient déferlé jeudi sur l'Oklahoma, le Texas (sud) et le Kansas (centre), selon la météorologie nationale américaine.
afp/bkel
POLITIQUE
OBAMA Y RETOURNE (VIA LE NET)
Obama, président-candidat, en campagne dans son fief de Chicago
AFP - Le président des Etats-Unis Barack Obama devait se rendre jeudi à Chicago (Illinois, nord), sa première visite dans son ancien fief électoral depuis qu'il s'est déclaré candidat à sa réélection en 2012.
Au lendemain d'un discours consacré au budget au cours duquel il a éreinté les positions des républicains au Congrès, M. Obama devait garder un ton offensif vis-à-vis de ses adversaires lors de trois réunions électorales consécutives prévues en soirée, selon son programme quotidien.
Ces réunions, dans deux restaurants puis une salle installée sur un grand ponton du lac Michigan, le "Navy Pier", devraient permettre de récolter des fonds pour le parti démocrate. Les billets pour le dernier événement se vendent entre 100 et 250 dollars, selon le journal Chicago Tribune.
En revanche, le programme officiel de M. Obama ne mentionne pas de visite dans le quartier général de sa campagne, installé à Chicago comme lors de sa marche victorieuse de 2007-2008.
Plusieurs "poids lourds" de l'équipe Obama ont récemment quitté la Maison Blanche afin de rejoindre la structure de Chicago, épicentre d'une opération ambitionnant de rassembler jusqu'à un milliard de dollars de contributions.
M. Obama a levé un secret de polichinelle lorsqu'il s'est déclaré candidat à un second mandat de quatre ans à la Maison Blanche, le 4 avril.
Sauf coup de théâtre, aucun adversaire de taille ne devrait contester à M. Obama, qui aura 50 ans l'été prochain, l'investiture démocrate à la convention présidentielle de Charlotte (Caroline du Nord, sud-est) début septembre 2012.
L'incertitude règne en revanche sur le nom de son futur adversaire républicain, qui émergera d'une primaire.
Les anciens gouverneurs du Minnesota (nord) Tim Pawlenty et du Massachusetts (nord-est) Mitt Romney ont fait un premier pas vers une candidature. L'ex-président de la Chambre et artisan de la "nouvelle droite", Newt Gingrich, y réfléchit tandis que le magnat de l'immobilier Donald Trump pourrait jouer les trublions.
Un récent sondage le donne en tête des intentions de vote au sein du parti, à égalité avec l'ancien gouverneur de l'Arkansas (sud) Mike Huckabee.
Au lendemain d'un discours consacré au budget au cours duquel il a éreinté les positions des républicains au Congrès, M. Obama devait garder un ton offensif vis-à-vis de ses adversaires lors de trois réunions électorales consécutives prévues en soirée, selon son programme quotidien.
Ces réunions, dans deux restaurants puis une salle installée sur un grand ponton du lac Michigan, le "Navy Pier", devraient permettre de récolter des fonds pour le parti démocrate. Les billets pour le dernier événement se vendent entre 100 et 250 dollars, selon le journal Chicago Tribune.
En revanche, le programme officiel de M. Obama ne mentionne pas de visite dans le quartier général de sa campagne, installé à Chicago comme lors de sa marche victorieuse de 2007-2008.
Plusieurs "poids lourds" de l'équipe Obama ont récemment quitté la Maison Blanche afin de rejoindre la structure de Chicago, épicentre d'une opération ambitionnant de rassembler jusqu'à un milliard de dollars de contributions.
M. Obama a levé un secret de polichinelle lorsqu'il s'est déclaré candidat à un second mandat de quatre ans à la Maison Blanche, le 4 avril.
Sauf coup de théâtre, aucun adversaire de taille ne devrait contester à M. Obama, qui aura 50 ans l'été prochain, l'investiture démocrate à la convention présidentielle de Charlotte (Caroline du Nord, sud-est) début septembre 2012.
L'incertitude règne en revanche sur le nom de son futur adversaire républicain, qui émergera d'une primaire.
Les anciens gouverneurs du Minnesota (nord) Tim Pawlenty et du Massachusetts (nord-est) Mitt Romney ont fait un premier pas vers une candidature. L'ex-président de la Chambre et artisan de la "nouvelle droite", Newt Gingrich, y réfléchit tandis que le magnat de l'immobilier Donald Trump pourrait jouer les trublions.
Un récent sondage le donne en tête des intentions de vote au sein du parti, à égalité avec l'ancien gouverneur de l'Arkansas (sud) Mike Huckabee.
France 24.com
samedi 16 avril 2011
vendredi 15 avril 2011
POUR LOGER
Ouverture d’un hôtel «capsules» à Times Square
Déjà présente dans deux aéroports de Londres et dans celui d'Amsterdam, la chaîne hôtelière Yotel ouvrira un nouvel hôtel comprenant 699 «capsules» à Times Square à New York, le 1er juin.
Conçues sur le modèle des cabines d'avion de première classe, les chambres du Yotel de Times Square seront bien plus petites que la moyenne new-yorkaise, déjà réduite. Pour compenser leur taille, elles regorgeront d'équipements spéciaux.
Comme c'est le cas dans les hôtels «capsules» nippons, les chambres premium du Yotel disposeront d'un «technowall», une console électronique compacte regroupant télévision, musique et autres services électroniques ainsi que de lits escamotables conçus pour gagner de la place.
En guise de réception, on trouvera des guichets semblables à ceux qui servent à l'enregistrement des bagages à l'aéroport. Les clients y laisseront un «Yobot» s'occuper de leurs valises.
En contraste avec ses petites chambres, le Yotel de Times Square disposera d'un espace considérable - le plus grand de New York - à l'extérieur. On y trouvera notamment deux bars et des pagodes. L'hôtel disposera également d'un restaurant japonais et d'un club lounge avec bar et cabine de DJ.
Le fondateur de la chaîne, Simon Woodroffe, estime que Yotel pourrait faire partie des dix plus grandes chaînes hôtelières d'ici dix ans, même s'il reste à vérifier que l'enseigne puisse continuer à proposer des tarifs intéressants en s'implantant en plein centre d'une grande ville.
Les tarifs du Yotel Times Square, avec un premier prix à partir de 199$ pour une réservation en ligne, peuvent sembler exorbitants comparés à ceux du Yotel d'Amsterdam, à 58$ la nuit. Néanmoins, son originalité lui suffira sans doute à créer l'événement à New York et inquiéter son principal concurrent The Pod Hotel.
Info: www.yotel.com
© Yotel | |
Une chambre premium du Yotel Times Square |
Déjà présente dans deux aéroports de Londres et dans celui d'Amsterdam, la chaîne hôtelière Yotel ouvrira un nouvel hôtel comprenant 699 «capsules» à Times Square à New York, le 1er juin.
Conçues sur le modèle des cabines d'avion de première classe, les chambres du Yotel de Times Square seront bien plus petites que la moyenne new-yorkaise, déjà réduite. Pour compenser leur taille, elles regorgeront d'équipements spéciaux.
Comme c'est le cas dans les hôtels «capsules» nippons, les chambres premium du Yotel disposeront d'un «technowall», une console électronique compacte regroupant télévision, musique et autres services électroniques ainsi que de lits escamotables conçus pour gagner de la place.
En guise de réception, on trouvera des guichets semblables à ceux qui servent à l'enregistrement des bagages à l'aéroport. Les clients y laisseront un «Yobot» s'occuper de leurs valises.
En contraste avec ses petites chambres, le Yotel de Times Square disposera d'un espace considérable - le plus grand de New York - à l'extérieur. On y trouvera notamment deux bars et des pagodes. L'hôtel disposera également d'un restaurant japonais et d'un club lounge avec bar et cabine de DJ.
Le fondateur de la chaîne, Simon Woodroffe, estime que Yotel pourrait faire partie des dix plus grandes chaînes hôtelières d'ici dix ans, même s'il reste à vérifier que l'enseigne puisse continuer à proposer des tarifs intéressants en s'implantant en plein centre d'une grande ville.
Les tarifs du Yotel Times Square, avec un premier prix à partir de 199$ pour une réservation en ligne, peuvent sembler exorbitants comparés à ceux du Yotel d'Amsterdam, à 58$ la nuit. Néanmoins, son originalité lui suffira sans doute à créer l'événement à New York et inquiéter son principal concurrent The Pod Hotel.
Info: www.yotel.com
SPECTACLE
Charlie Sheen hué au Radio City Music Hall
L'acteur fait actuellement le tour des États-Unis avec son one man show My Violent Torpedo Of
Les réactions sont mitigées, et la foule présente au Radio City Music Hall de Manhattan, a été loin d'être séduite par Charlie Sheen.
Après avoir critique Chuck Lorre, le créateur de la série Mon Oncle Charlie, dont il était la vedette, il s'en est maintenant pris à Oliver Stone, et a confié dimanche (10avr11) "Je vais acheter un Oscar à Oliver Stone, parce qu'il est fauché. Ses récents films sont nuls ! Est-ce quelqu'un a vu Wall Street 2 ?'"
La plaisanterie de l'acteur n'a pas fait rire, et son one-man show de 75 minutes, n'a duré que 45 minutes suite à la colère du public.
Yahoo.com
FAIT DIVERS
La police enquête sur un mystérieux tueur en série
Des hommes-grenouilles à la recherche de restes humains, à New York. La scène de crime rappelle un film policier, mais elle est bien réelle. Depuis la découverte mardi 12 avril de morceaux humains sur une plage de Long Island, les Américains croient de plus en plus à la thèse d'un tueur en série. Ce mystérieux serial killer aurait frappé au moins neuf ou dix fois. Un chiffre approximatif qui correspond au nombre de victimes difficilement identifiées par les enquêteurs.

La liste des victimes s'allonge, mais les enquêteurs n'ont toujours aucun suspect. Et les hypothèses se bousculent. Ces derniers jours, la presse soulignait que l'auteur de certains des crimes serait une personne au fait des méthodes de la police. D'aucuns pensent que l'endroit où ont été faites ces découvertes servirait de décharge à deux meurtriers.
Alors que l'affaire fait les gros titres des journaux américains, la disparition inquiétante de Shannan Gilbert, une prostituée de 24 ans originaire de Jersey City dans le New Jersey, depuis le 1er mai 2010, fait craindre la découverte d'une nouvelle victime.QUARTIERS DE NY
LITTLE ITALY DISPARAIT...
Little Italy est le quartier italien de Manhattan au nord de Canal Street. Auparavant la communauté italienne issue de l'immigration vivait dans un secteur beaucoup plus vaste qu'aujourd'hui, mais le quartier voisin de Chinatown s'est étendu considérablement, empiétant largement sur celui de la Petite Italie. C'est donc entre Broome Street et Canal Street, en particulier sur Mulberry Street que l'on découvrira le secteur qui conserve le mieux les caractéristiques de Little Italy.
Au début du xxe siècle Little Italy comptait plus de 120 000 habitants issus de l'immigration italienne, en particulier des Génois, Calabrais, Siciliens, Piémontais, Toscans et Napolitains qui se partageaient le quartier en secteurs. Mais dans les années 1950 la population d'origine italienne s'intégra presque totalement à la population new-yorkaise et Little Italy est plus aujourd'hui un quartier touristique avec ses restaurants italiens sur Mulberry Street, ses maisons à six étages, ses pâtisseries, ses cafés ou ses fabriques de pâtes fraîches.
L'Umberto's Clamhouse est un des restaurants italiens les plus réputés de Little Italy. Situé au 129 Mulberry Street, c'est là qu'un des parrains de la mafia italienne, Joe Gallo, fut assassiné en 1972. On conseillera aux amateurs de cuisine italienne de se rendre également au Da Nico (164 Mulberry Street) ou au Casa bella (127 Mulberry Street).
Les édifices les plus remarquables de Little Italy sont Old St. Patrick's Cathedral ( entre Prince Street et Mulberry Street) qui fut un des principaux lieux de cultes avant la construction de la nouvelle Cathédrale Saint patrick, Bowery Savings Bank (130 Bowery), l'édifice du Former Police Headquarters Building (Centre Street), le Pioneer Hotel (146-48 Bowery) et le Puck Building (295-309 Lafayette Street).
Comme pour la plupart des communautés vivant à New York, les descendants d'immigrants italiens se réunissent chaque année à l'occasion d'une grande fête. Pour les italiens de New York c'est la San Gennaro, le saint patron de Naples, et pendant onze jours de nombreuses festivités sont organisées le long de Mulberry Street et les alentours. Processions religieuses, concours de mangeurs de pâtes et autres attractions animent le quartier italien.
La fête de la San Gennaro (19 septembre) est connue pour sa procession qui commence sur Mulberry Street, entre Canal Street et Bayard Street, et parcourant plusieurs rues de Little Italy. Cette procession débute à 14 h 00 et la statue de San Gennaro, qui réside habituellement en l'église Most Precious Blood Church, est portée tout le long du parcours.
Il faut savoir qu'il existe d'autres quartiers italiens à New York. L'un de ces quartier se trouve près du secteur de Fordham dans le Bronx. C'est dans le quartier de Besonhurst que la communauté italienne réside à Brooklyn, et les italiens occupent plusieurs secteurs du Queens comme Howard beach, Ozone Park et Middle Village. À Staten Island, plus de 44 % de la population est d'origine italienne.
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